Le Chine refuse la présence du polisario dans le Sommet Chine-Afrique

Il est indiscutable que la République Populaire de Chine, intransigeante à sa position, a bel et bien envoyé aux orties la présence des mercenaires polisariens au Sommet Chine-Afrique, tenu à Pékin en juin 2020 par vision conférence et consacré à l’examen de la propagation de la pandémie du Coronavirus (COVID-19) sur le continent africain.

La Chine, fidèle à sa position, a fermement interdit aux polisariens de participer à ce Sommet Extraordinaire Chine-Afrique et ce, malgré les pressions de l’Afrique du Sud, délégataire du régime algérien, pour défendre les thèses dégradées et dégradantes des terro-polisariens.

Cette décision est en parfaite concordance avec la Politique Etrangère défendue par le Président chinois, Monsieur Xi Jinping, qui pour mémoire avait déjà écarté le polisario lors de la 3ème édition du Sommet Chine-Afrique, tenue les 03 et 04 septembre 2018 à Pékin.

Mieux, en 2015 alors que le Maroc n’avait pas encore adhéré à l’Union Africaine, la Chine avait contraint l’Afrique du Sud, pays hôte de la deuxième édition du Sommet sino-africain organisé alors à Johannesburg, d’écarter le polisario de la liste des participants.

Un Sommet Extraordinaire tenu à l’initiative de la Chine, de l’Afrique du Sud, qui assure la Présidence tournante de l’Union Africaine, du Sénégal qui copréside le forum de la coopération sino-africaine, s’est déroulé en présence de certains leaders africains et du Président de la Commission de l’Union Africaine Moussa Fakki Mohamed, avec la participation du Secrétaire Général des Nations-Unies, Antonio Guterres, et du Directeur Général de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, en tant qu’invités spéciaux.

Ce Sommet, essentiellement dédié à la solidarité avec le continent africain, est intervenu au moment du lancement de l’initiative du Roi du Maroc d’accorder des aides humanitaires à plusieurs pays africains pour les accompagner dans leurs efforts de lutte contre le nouveau coronavirus.

On peut donc confirmer que l’Empire chinois a une nouvelle fois réaffirmé sa position sur les thèses polisariennes ce qui ne peut qu’attester que les responsables algériens entretiennent une bande de terroristes qu’ils usent et abusent pour semer la zizanie entre les peuples africains, notamment ceux de la bande sahélo-saharienne.

D’ailleurs, et c’est connu de tous, comme la si bien souligné cet expert péruvien, dans un article publié récemment par le quotidien « La Razon » et le site d’information « Prensa 21 », Ricardo Sanchez Serra, expert en relations internationales, le « régime algérien fait des sahraouis un outil pour contrer le Maroc, l’ami qui l’a pourtant aidée pendant la guerre d’indépendance ».

Pour cet expert, les sahraouis marocains sont séquestrés dans les camps de la honte sis à Tindouf, et les polisariens à la solde du régime algériens ne veulent supprimer les postes de contrôle partout mis en place dans les différents camps de peur de voir cette population séquestrée retourner à leur pays qu’est le Maroc.

A noter que la priorité du régime algérien n’est pas les sahraouis mais son obsession maladive de trouver une issue sur l’Océan Atlantique. Ouverture que les responsables algériens n’auront jamais, même en rêve, pour transférer leur minerai de fer et autres de Gara Jbilet à moindre frais et affaiblir le Maroc en le coupant illégitimement du continent africain.

Au final, il est plus que certain que la communauté internationale ne pourra plus accepter que la population sahraouie marocaine soit séquestrée dans les camps de la mort de Tindouf avec la complicité des dirigeants algériens et que les terroristes, à la solde du régime algérien, viennent y trouver une planque bienfaitrice au détriment des sahraouis marocains, enchaînés dans ces geôles à ciel ouvert de Tindouf, pour enrichir leurs plastrons polisariens et algériens.

Au fait ça chauffe fort dans le Sud algérien puisque d’autres localités dans cette région ont pris le relais de Tinzaouiatine pour dénoncer la marginalisation dans laquelle elles vivent, comme c’est le cas de Bordj Badji Mokhtar.

Farid Mnebhi.

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