Nul ne peut aujourd’hui contester que les autorités algériennes refusent tout recensement des sahraouis marocains séquestrés dans les camps de la honte de Tindouf.
En effet, dernier acte en date des responsables algériens, l’interdiction faite le 02 novembre 2016, à une délégation du réseau EuroMed Droits de conduire une enquête sur la situation des droits et libertés des sahraouis retenus contre leur gré dans les camps de Tindouf, en Algérie.
La mission projeté d’Euromed Droits avait pour but des rencontres avec des ONG’s internationales présentes sur le terrain ainsi que des visites à de multiples pseudo institutions, tel le centre pénitentiaire, mais aussi de tenir des discussions avec des témoins ou victimes de graves violations des Droits Humains.
Face à cette donne, le Président d’EuroMed, Michel Tubiana, a vivement réagi en affirmant que son organisation regrettait cette décision irresponsable des autorités algériennes d’interdire une mission d’enquête sur l’état réel des droits et libertés dans les camps de Tindouf en Algérie, sous contrôle du « Front Polisario ».
Michel Tubiana a même confirmé qu’il était en possession de documents confirmant l’existence de nombreux lieux de détentions de sahraouis marocains en Algérie.
Il a également révélé que son organisation se déplaçait librement au Maroc et en Tunisie et établissait des rapports sur la situation des Droits de l’Homme sur ces pays et que, donc, il n’y aurait plus de visite en Algérie, pays qui viole les Droits de l’Homme outrageusement.
La décision des autorités algériennes s’explique par le fait que l’Algérie tente, par tous les moyens, de faire exploser le nombre de séquestrés dans les camps de Tindouf pour obtenir plus d’aides humanitaires pour les détourner, comme révélé par le rapport de l’Office Européen de Lutte Anti Fraude (OLAF).
D’ailleurs, le prochain Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Antonio Guterres, exigera des autorités algériennes un recensement des sahraouis marocains des camps de Tindouf , afin de clarifier le nombre exact des séquestrés marocains.
Farid Mnebhi.
En effet, dernier acte en date des responsables algériens, l’interdiction faite le 02 novembre 2016, à une délégation du réseau EuroMed Droits de conduire une enquête sur la situation des droits et libertés des sahraouis retenus contre leur gré dans les camps de Tindouf, en Algérie.
La mission projeté d’Euromed Droits avait pour but des rencontres avec des ONG’s internationales présentes sur le terrain ainsi que des visites à de multiples pseudo institutions, tel le centre pénitentiaire, mais aussi de tenir des discussions avec des témoins ou victimes de graves violations des Droits Humains.
Face à cette donne, le Président d’EuroMed, Michel Tubiana, a vivement réagi en affirmant que son organisation regrettait cette décision irresponsable des autorités algériennes d’interdire une mission d’enquête sur l’état réel des droits et libertés dans les camps de Tindouf en Algérie, sous contrôle du « Front Polisario ».
Michel Tubiana a même confirmé qu’il était en possession de documents confirmant l’existence de nombreux lieux de détentions de sahraouis marocains en Algérie.
Il a également révélé que son organisation se déplaçait librement au Maroc et en Tunisie et établissait des rapports sur la situation des Droits de l’Homme sur ces pays et que, donc, il n’y aurait plus de visite en Algérie, pays qui viole les Droits de l’Homme outrageusement.
La décision des autorités algériennes s’explique par le fait que l’Algérie tente, par tous les moyens, de faire exploser le nombre de séquestrés dans les camps de Tindouf pour obtenir plus d’aides humanitaires pour les détourner, comme révélé par le rapport de l’Office Européen de Lutte Anti Fraude (OLAF).
D’ailleurs, le prochain Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Antonio Guterres, exigera des autorités algériennes un recensement des sahraouis marocains des camps de Tindouf , afin de clarifier le nombre exact des séquestrés marocains.
Farid Mnebhi.