Le vendredi 27 janvier 2017, le Roi du Maroc a pris la direction d’Addis Abeba, capitale de la République Fédérale Démocratique d’Ethiopie où se tient le 28ème Sommet de l’Union Africaine (U.A).
Au cours de ce Sommet, les Chefs d’Etat africains examineront la demande du retour du Maroc au sein de sa famille africaine qu’il avait quittée il y a 32 ans.
Le Parlement marocain avait ratifié, le 20 janvier 2017, l’Acte Constitutif de cette organisation PanAfricaine ainsi qu’une loi publiée au Bulletin Officiel ouvrant la voie au retour officiel du Maroc au sein de l’U.A.
En reprenant sa place naturelle et légitime au sein de l’U.A, le Maroc et ses amis africains pourraient mettre un terme définitif à l’escroquerie du 20ème siècle qui a permis à une entité fantoche d’entrer par effraction dans cette organisation provoquant le départ par la grande porte du Maroc.
La grande majorité des pays africains a compris que le Continent Africain ne pouvait continuer à traîner ce boulet qu’est la pseudo-RASD, sans risque d’insulter le présent et l’avenir des peuples africains et que donc, le temps est venu de corriger cet impair historique en procédant à l’expulsion de cette entité qui n’existe que dans les fantasmes des dirigeants algériens et de leurs alliés.
Avec le retour du Maroc tant souhaité en son sein, l’Union Africaine a rendez-vous avec l’histoire, une opportunité qu’il convient de fructifier car il y va des attentes légitimes de la Femme et l’Homme africains au progrès et à la prospérité, et verra son poids considérablement décupler dans le concert des Nations, notamment pour ce qui est de la résolution des conflits dans cette partie du monde.
Farid Mnebhi.