Il règne depuis un moment dans la région de Brescia en Italie un climat malsain fait de haine, de calomnie et de rumeur. A priori ce n’est pas un nouvel avatar du Coronavirus qui a semé la mort et la désolation dans cette région italienne. Mais une forme de rage qui a frappé un ‘’journaliste’’ local au point qu’il a perdu ses esprits et même la raison et ainsi fait le vide autour de lui.
Mais ce qui rend ce fait à la fois triste, pour la personne elle-même, et inquiétant, pour ses proches, c’est que le torrent de haine qu’il diverse en contenu et sans retenue avec pour principale cible son propre pays d’origine (Le Maroc) et ses institutions, se transforme en délire et devient par conséquent source de malaise pour les marocains établis dans cette région. Si certains d’entre eux ont essayé de le ramener à la raison, d’autres ont mis en lumière, preuve à l’appui, son passé délictueux, ses manœuvres d’intimidation et de chantage ou encore sa manière de renier ses engagements et de trahir ceux qui lui ont apporté, à un moment de son parcours tortueux, aide et assistance.
Le mal dont souffre ce personnage (D.F) a pour racine la haine viscérale et comme expression publique et ‘’journalistique’’ la diffamation.
La haine est un sentiment personnel de détestation et d’hostilité qui peut conduire à des comportements incontrôlés et dangereux car, comme le souligne, le psychanalyste Pierre Delaunay, « celui qui hait dénie toute existence à l’objet de sa haine ». Et c’est le cas de D.F. Il ne voit que malhonnêteté et immoralité chez les personnes (Consul, Ambassadeur, fonctionnaires, acteurs associatifs) qu’il attaque et diffame. Personne n’a échappé à sa rage et à sa haine. La haine de son pays d’origine, le Maroc, le pousse à commettre des actes contraires aux intérêts nationaux marocains allant jusqu’à prendre pour alliés ses pires ennemis (Polisario). Il leur accorde des espaces (Choroknews24 et son association) et des occasions pour dénigrer le Maroc et porter atteinte à sa stabilité, ses institutions et son intégrité.
D.F utilise la diffamation comme arme d’expression pour porter atteinte à l’honneur de personnes et de personnalités marocaines nommément désignés comme cible. Tout cela sous le couvert de la liberté d’expression et sous motif de nettoyer « les écuries d’Augias ». Mais dans les faits ce personnage controversé et pestiféré fait « ses coups d’éclat » et soigne ses sorties hasardeuses sous la couverture et la qualité de « journaliste » pour à la fois servir des causes inavouées personnelles et étrangères et pour discréditer des personnes de surcroit connues pour leur honorabilité et leur engagement au service des intérêts diplomatiques, culturels ou sécuritaires du Maroc. La diffamation est une infraction pénale punissable par la loi, et il appartient aux personnes injuriées et diffamées de demander à la justice réparation. Mais trahir son pays et le vendre à vil prix à ses adversaires, à des séparatistes et à des mercenaires est la pire et la plus méprisable des indignités. D.F. est indigne de sa marocanité et indigne de confiance et du métier qu’il prétend exercer, le journalisme.
Par : Ben Nasser, universitaire (Paris, France)