Présentement le Maroc fait parler de lui à plusieurs niveaux politiquement, économiquement et socialement.
Pour commencer, le Maroc a donné l’exemple sur la rigueur de la gestion de la pandémie de la Covid 19, en anticipant sur la prise en charge de cette Pandémie qui a déboussolé et immobilisé moult états des plus aisés que le Royaume qui est cité en exemple sous d’autres cieux.
Le Maroc en un temps record a montré de quel bois il se chauffait suite à de profondes transformations qui ont eu lieu dans son approche aussi bien à l’échelon local qu’à l’échelle internationale.
Localement toutes les personnes de mon âge peuvent témoigner que beaucoup de choses ont changé pour ne citer que la relation du citoyen avec l’administration. Nous assistons, même, parfois à l’abus du citoyen qui était jadis étouffé et ne pouvait réclamer le moindre droit. C’’est vrai qu’il reste des choses à faire encore mais croyez-moi, le Maroc a pris de l’avance sur plein de pays qui étaient, jusqu’à hier, nos égaux, en matière de liberté d’expression et de droit à l’information. Sans oublier l’initiative du développement humain qui a boosté plusieurs secteurs d’activité et principalement une bonne partie de la population fragile qui s’est vu sauvée par cette initiative.
Malgré quelques passe-droits dont le politique est l’initiatrice pour préserver de facto des voix qui leur étaient acquises. Ce n’est pas par hasard que les décisions suprêmes ont décidé d’éloigner les élus des prises de décisions sur les projets de la 3ème phase de l’INDH qui est venue avec des propositions innovantes dont l’inclusion économique des jeunes. En effet, ceci est un secret de polichinelle, car l’exclusion, systématique des jeunes a toujours présenté un déficit dans la politique nationale et notamment dans le secteur de la formation. La petite enfance et son éducation a été l’une des prérogatives de cette 3me phase de l’INDH.
Coté économique le Maroc a amorcé un développement intéressant depuis une dizaine d’année aussi bien du côté de l’investissement national qu’international. Ces 2 dernières années ont vu un essoufflement dû, surtout, au coronavirus sinon le programme de développement est maintenu et l’ouverture du secteur privé sur les pays d’Afrique s’est renforcé. Le secteur public, non plus n’est pas en reste, car il faut mettre à son actif les investissements réalisés:
- par l’OFPPT dans plusieurs pays du sud ;
- par d’autres institutions publiques, comme le secteur minier, les transports et l’urbanisme.
Ceci a été l’un des points qui a surpris plein d’état de ce monde, allant jusqu’à être jalousé par plusieurs pays qui ne s’y attendaient pas.
Les relations internationales du Maroc se sont améliorées et se sont diversifiées, dans sa vision stratégique et sa politique étrangère. Plusieurs ambassades et consulats ont été inaugurés dans des pays stratégiques à travers le monde et l’Etat est plus que jamais présent dans les institutions régionales et internationales.
Cette approche politique de représentation a accompagné une politique de rapprochement avec l’Union européenne (UE) à travers le « Statut avancé ». On constate également une politique de rapprochement avec plusieurs pays d’Afrique sub-saharienne ou encore de l’Amérique latine.
Contrairement à la majorité du reste du monde, les prévisions économiques du Maroc tablent sur un rebond en 2021 avec des performances futures ses principaux partenaires commerciaux d’outre-mer, ce qui va absorber le déficit budgétaire dû au ralentissement engendré par la situation épidémiologique vécue.
Les événements évoluent en faveur du Maroc à plusieurs niveaux et les derniers ont démontré la place importante qu’occupe le Maroc dans l’échiquier Mondial. Une place qui a rendu pratiquement tous les marocains fiers d’appartenir à ce pays qui ose sans complexe défier les tendances.
Le rapprochement des pays arabes qui ont dénigré jadis sa politique se sont également précipités à rétablir le contact, persuadés que le Maroc grâce au saut démocratique, social et économique, appréciable et reconnu, est désormais un pays modèle à prendre en considération.
La reconnaissance des Etats Unis de l’appartenance du SAHARA au Maroc a damé le pion aux ennemis du Maroc. Le rétablissement des relations avec l’état d’Israël ainsi qu’avec nos concitoyens marocains de confession juive ont été applaudis et ont in-fine accéléré le retour à la normale des relations bilatérales. Normalisation qui a permis aux familles Marocaines de confession juive, de retrouver avec plaisir leur pays d’origine où ils ont vu le jour.
Plusieurs autres pays, jusqu’alors, hésitants, se sont précipités, incontinent, afin d’épauler le Maroc pour sa principale cause nationale ainsi que pour bien d’autres domaines.
Les récalcitrants Marocains contre ce rétablissement des relations, constitués généralement de personnes qui n’ont pas vécu la cohabitation harmonieuse dans nos mellahs avec ces marocains de confession différente n’ont pas compris que ce retour à la normale des relations n’enlève en rien le droit des palestiniens à la récupération de leur terre.
L’histoire retient qu’au jour d’aujourd’hui les palestiniens ne nous portent, toujours pas dans leur cœur. Il faut noter que pas une seule fois ils n’ont adhéré à la cause du Maroc, contrairement à celui-ci qui tant donné sans attendre de retour. Jean Antoine Petit (1846), à ce propos :
«… L’ingratitude est une lâcheté envers la bienfaisance qui ne saurait se venger en publiant les services qu’elle a rendus ou en les rappelant à ceux qui les ont oubliés».
Je veux soulever non plus l’ingratitude d’un gouvernement qui a la mémoire courte et qui persiste à perturber l’ordre normal des choses en se cachant derrière des arguments non fondés pour biaiser l’histoire. Croyez-moi L’ALGERIE est marocaine pas seulement le SAHARA. Il suffit de se pencher sur l’histoire de la région et les déclarations des hommes politiques qui ont créé ce pays pour se persuader que nos frères algériens sont des marocains d’origine et que c’est la colonisation qui a créé ce clivage selon le vieux adage, « Diviser pour mieux régner »
Le contraste évident c’est de voir nos frères algériens, renier leur origine et essayer de nous nuire alors que les juifs marocains jubilent de ce rapprochement tant attendu.
Enfin, je termine avec cette dernière boutade Allemande qui est sûrement la meilleure, venant d’un pays qui prêche la démocratie en Europe et qui a, en plus vécu, les vrais malheurs de la séparation de leurs citoyens sur un territoire limitrophe, situation tout à fait comparable avec nos cousins du SAHARA.
Sachez donc que ce pays, a commis la pire bêtise de sa vie, en hissant le drapeau des POLISARIENS « Polisario des algériens » comme disait Ali NAJAB qui a passé 25 ans de calvaire dans les geôles de Tindouf.
Ce crime prémédité n’a fait que confirmer la grandeur du Maroc qui ne se laisse pas impressionné par aucun pays et qui ne troque guère pas ses convictions contre des pièces sonnantes et trébuchantes risquant de porter atteinte à son intégrité territoriale et son histoire.
Toutes ces épreuves ne font que renforcer ce pays qui a la Baraka et qui s’appuie sur des hommes qui font de la diplomatie parallèle en sus à celle officielle des affaires étrangères. La seule différence et non des moindres c’est que cette diplomatie parallèle, grâce à des citoyens marocains, honnêtes et intègres, se meut avec le cœur et le devoir envers la patrie plutôt qu’autres choses.