Rabat, le 17 mars 2022 (MAP) – La dénommée Sultana Khaya qui n’est qu’une pseudo-militante politique et militaire dans un mouvement séparatiste, profite pourtant des acquis et possibilités offertes grâce au respect des droits de l’Homme au Maroc, a estimé l’écrivain-journaliste, Talaâ Saoud Al Atlassi.
”?tant avéré aujourd’hui qu’elle a été embrigadée par les séparatistes du polisario, la dénommée Sultana Khaya n’est en définitive qu’une pseudo-militante politique et militaire dans un mouvement séparatiste et qui malgré tout profite bien des acquis et possibilités offertes grâce au respect des droits de l’Homme au Maroc”, souligne-t-il dans une chronique intitulée ”La preuve des accusations infondées par les mécanismes de droits l’Homme”, diffusée mercredi sur le site d’information en ligne ”Machahid 24”, avant d’ajouter que ”ses allégations fallacieuses à l’appui desquelles elle prétend être victime des violations de droits de l’Homme sont nulles et non avenues”.
Il note, à ce propos, que ”la Rapporteuse spéciale de l’ONU sur la situation des droits de l’Homme, Mary Lawlor s’est bien rendue compte que la dénommée Sultana Khaya qui dénie sa marocanité, n’est en fait qu’une pseudo militante politique et militaire embrigadée et par ricochet, elle ne peut plus bénéficier de la protection dans son champ d’action comme étant une victime supposée des violations de droits de l’Homme”.
Et du coup, la Rapporteuse onusienne l’a écartée du champ définissant ses prérogatives, surtout après avoir acquis la conviction sur ”le statut militaire de la supposée victime de violations de ses droits politiques. Ce qui ne lui donne pas le droit de bénéficier de tout ce qui est inscrit dans le domaine des droits civiques et de la démocratie sur les plans des engagements, des lois et autres procédures en faveur de la consolidation du respect des dispositions et principes des droits de l’Homme dans leur entièreté”.
Le chroniqueur poursuit en indiquant que le Maroc ne cesse d’œuvrer en faveur de l’éducation à ces principes ainsi que leur consécration et leur promotion à travers l’enseignement, les médias ou encore la promulgation des lois, outre des politiques et des mesures sociales visant à promouvoir les droits sociaux, économiques et culturels ainsi que la formation en matière de droits de l’Homme au profit des responsables de l’application de la loi à savoir les hommes et femmes de la justice et de la police. Et à travers aussi bien tout cela, la mise en place d’institutions de gouvernance et de gestion des droits de l’Homme comme le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) et la Délégation interministérielle aux Droits de l’Homme (DIDH), soutient-il, avant de relever que c’est bien grâce à tous ces acquis que la dénommée Sultana, sa consœur Aminatou et consorts se permettent de revendiquer leur appartenance au mouvement séparatiste du polisario au cœur même des provinces marocaines du Sud.
Et de faire savoir que ”l’action dans le domaine des droits de l’Homme au Royaume est régie désormais par des normes, des concepts et un code de conduite, laquelle action inscrite en faveur de la promotion du processus de développement national et sur le plan démocratique et social à travers une participation citoyenne et sensibilisée, consciente de ses droits et devoirs avec le même élan d’enthousiasme, de rigueur, de crédibilité et d’efficience”.
”Dans ce processus, on distingue l’action dans le domaine des droits de l’Homme qui s’inscrit dans un élan et une profondeur en phase avec les ambitions du progrès au Maroc et celle qui cherche à faire barrage à la promotion des droits de l’Homme pour servir les agendas de parties hostiles au Royaume, tout comme l’on peut distinguer dans ce processus l’action provoquée par une insoutenable légèreté politique”, écrit-il.
Dans son éclairage, l’auteur cite également l’exemple de certains autres ”Marocains” qui se posent en victimes de violations de droits de l’Homme dans le but de s’enrichir, ”des Marocains”, fait-il remarquer, médiatisés par certains supports occidentaux qui expriment les intérêts de pays divisés sur la manière de concevoir leurs rapports avec le Maroc.
Il relève aussi que la dénommée Sultana et ses consœurs dans les provinces marocaines du Sud et leurs homologues dans certains pays européens, ont en commun le déni de leur Marocanité et aussi leurs allégations infondées de victimes de violations de droits de l’Homme au Maroc.
Et de saluer enfin la réaction appropriée face à toutes ces allégations fallacieuses de la Délégation Interministérielle aux Droits de l’Homme à travers les sorties médiatiques et les déclarations officielles du Délégué Interministériel aux Droits de l’Homme, Ahmed Chaouki Benyoub.