Organisation du 2ème FMDH au Maroc : Témoignages d’experts

Le Maroc, un exemple à suivre en matière des droits de l’Homme en Afrique (Président du CDH)

aaaaRabat  –  Les multiples stratégies mise en oeuvre par le Maroc en matière des droits de l’Homme font assurément du Royaume « un exemple à suivre pour les pays du continent africain », a affirmé, mercredi à Rabat, le président du Conseil des droits de l’Homme (CDH), Baudelaire Ndong Ella.

« L’expérience marocaine en matière de promotion des droits de l’Homme est un cas d’école à exporter aux autres pays africains », a souligné le responsable onusien dans une déclaration à la presse en marge de son entretien avec le délégué interministériel aux Droits de l’Homme, Mahjoub El Hiba.

Le président du CDH a salué les efforts du Royaume et son rôle particulièrement actif au sein du Conseil des droits de l’homme et son interaction continue avec les différents mécanismes onusiens de promotion et de protection des droits de l’homme.

Il a également souligné le fait que le Maroc est à l’avant-garde en matière de stratégies nationales et d’idées novatrices pour concrétiser son attachement aux principes et valeurs universelles consacrées par les principaux instruments internationaux des droits de l’homme.

Le Royaume incarne un véritable modèle pour le continent africain dans la mesure où plusieurs Etats ne sont qu’au début de la concrétisation de leurs efforts ou ambitions en matière de droits de l’homme, a-t-il affirmé, saluant la création de la Délégation Interministérielle aux Droits de l’Homme en tant que mécanisme gouvernemental de coordination interministérielle en matière des droits de l’homme, lesquelles appellent par définition une approche transversale. Cette expérience mérite, elle aussi, d’être « exportée », a-t-il ajouté.

En visite de travail au Maroc du 25 au 29 novembre pour prendre part au Forum mondial des droits de l’Homme (FMDH) qui se tient du 27 au 30 novembre à Marrakech, M. Ndong Ella s’est réjoui de l’organisation de ce forum pour la première fois dans le continent africain, longtemps laissé pour compte en matière des droits de l’Homme, notant que ce forum se veut une plate-forme d’échange et de débat autour des questions des droits de l’Homme, pour que les pays du sud, notamment africains, puissent tirer parti des expériences réussies dans ce domaine.

Cet entretien a été l’occasion d’exposer les multiples réformes entreprises par le Maroc en matière des droits de l’Homme et l’approche marocaine d’interaction avec les mécanismes onusiens des droits de l’Homme, a souligné, pour sa part, M. El Hiba.

Evoquant les sujets qui seront abordés lors du 2ème FMDH, qui intervient après celui tenu au Brésil en décembre 2013, le délégué interministériel aux Droits de l’Homme a fait part notamment des problématiques qui interpellent la communauté internationale, notamment les questions du terrorisme, d’internet et d’émigration en rapport avec les droits de l’Homme.

Plus de 5.000 participants, des décideurs, des défenseurs des droits de l’Homme et des chercheurs sont attendus au forum de Marrakech qui sera marqué par une forte implication des pays du Sud et des débats ouverts sur des problématiques aussi variées que les droits des femmes, des enfants, des groupes vulnérables et des migrants.

Le 2ème FMDH de Marrakech renforcera le débat sur des problématiques post-conférence de Vienne (Mahjoub El Hiba)

Rabat  – Marrakech s’apprête à accueillir, du 27 au 30 novembre, les travaux du 2ème Forum mondial des droits de l’Homme (FMDH) avec à la clé l’examen d’une série de questions juridiques émergentes et d’autres problématiques non résolues, témoignant par la même, la volonté des peuples et des pays du Sud, le Maroc et le Brésil en tête, de prendre en charge les valeurs des droits de l’Homme et de participer, à égalité, aux grands débats internationaux.

Selon le délégué interministériel des droits de l’Homme Mahjoub El Hiba, au menu de ce 2ème FMDH, qui intervient après celui tenu au Brésil en décembre 2013, figurent de nouvelles problématiques qui interpellent la conscience mondiale, alors que la contestation de l’universalisme s’est diversifiée et amplifiée dans ses dimensions humaines, sociales et écologiques, depuis la Conférence mondiale de Vienne sur les droits de l’Homme de 1993.

Dans un entretien à la MAP, M. El Hiba a assuré que ce Forum permettra de renforcer les débats autour de problématiques posées depuis deux décennies, dont la ségrégation, notamment celle à l’égard des catégories fragiles comme les enfants et les personnes handicapées, l’abolition de la peine de mort ou encore les questions liées à la femme et aux migrants.

Il a noté que cette édition sera l’occasion de débattre de nouvelles questions naguère inconnues depuis la conférence de Vienne, comme l’entreprise et les droits de l’Homme, l’eau, l’assainissement et l’environnement, les nouvelles technologies et le terrorisme dans leur rapport avec les droits de l’Homme.

Revenant sur la 5ème édition du Sommet Global de l’Entrepreneuriat tenue à Marrakech, à la veille du 2ème FMDH, M. El Hiba a fait observer que le Maroc, à travers nombre d’acteurs et d’instances, dont le CNDH, est en mesure d’avancer une série de propositions importantes au sujet de l’entreprenariat et des droits de l’Homme, une question émergente qui ne fait pas l’objet d’une convention internationale.

Il a relevé que l’ensemble de ces questions émergentes et d’autres problématiques en suspens seront ainsi abordées dans le cadre d’activités thématiques animées par des réseaux et associations nationales et internationales, des experts et des départements ministériels, ainsi que dans le cadre d’autres activités initiées par des instances constitutionnelles avec leurs homologues de par le monde.

Autant dire que le forum de Marrakech sera l’occasion de faire le bilan d’une série d’actions entamées depuis la conférence de Vienne, qui a constitué une étape essentielle dans la modernisation des principes et des valeurs des droits de l’Homme.

Depuis Vienne, en effet, de nouvelles instances régionales de promotion et de protection des droits de l’Homme ont vu le jour, alors que les institutions nationales des droits de l’Homme, balbutiantes alors, se sont affirmées comme des acteurs dynamiques et au rôle de plus en plus important, au moment où le système des Nations unies en matière de protection des droits fondamentaux s’est significativement renforcé et renouvelé: création du Conseil des droits de l’Homme, adoption de l’Examen périodique universel, désignation de vingt-neuf titulaires au titre des procédures spéciales, entrée en vigueur de neuf instruments internationaux (deux conventions internationales et sept protocoles facultatifs).

Sur cette lancée précisément, M. El Hiba a souligné le développement remarquable que le Maroc a enregistré en matière de droits de l’Homme et de construction démocratique en tant que l’un des rares pays de la région, sinon le seul, à avoir eu le courage au plus haut niveau de l’Etat, sous la conduite de SM le Roi Mohammed VI, de procéder à la lecture des violations passées des droits de l’Homme et d’en tirer les enseignements, ainsi qu’à l’ouverture de chantiers de réformes structurants à travers l’expérience du Royaume en matière de justice transitionnelle, devenue un modèle pour nombre de pays de par le monde, notamment ceux en phase de transition démocratique.

Il a expliqué que le Maroc, qui a contribué au développement des standards des conventions des droits de l’Homme, compte faire valoir son expérience en la matière lors du Forum de Marrakech, le but étant le partage des meilleures pratiques en vue d’un enrichissement mutuellement bénéfique.

Le Forum sera, ainsi, l’occasion de présenter l’expérience marocaine et de l’enrichir par l’apport d’autres intervenants internationaux, dont les instruments et mécanismes pertinents des Nations-Unies, qui auront l’opportunité de s’en approcher, de se l’approprier et de l’apprécier, dès lors que la question des droits de l’Homme est de nature un processus évolutif et constamment renouvelé, a-t-il dit.

Il a expliqué que le Forum de Marrakech tentera d’émettre une série de recommandations et de propositions relatives à l’amélioration du système des Nations-Unies des droits de l’Homme, la promotion de la coopération internationale et le renforcement des capacités des acteurs et des intervenants dans ce domaine, la consécration des meilleures pratiques en la matière et à la définition des problématiques et des enjeux à venir.

Rappelant que la précédente édition du Forum à Brasilia a conféré une dimension internationale au débat sur les droits de l’Homme, il a soutenu que l’édition de Marrakech permettra l’élaboration de propositions importantes qui enrichiront cette orientation des pays du Sud, mettant l’accent sur le dynamisme ayant accompagné la préparation du 2ème FMDH, grâce à la contribution d’un comité scientifique international, en vue d’ouvrir un large débat public sur la question des droits de l’Homme.

A ce propos, M. El Hiba a souligné que l’élargissement de la participation du plus grand nombre d’acteurs à ce débat était l’un des défis de la préparation du Forum de Marrakech, sachant que des représentants d’une centaine de pays sont attendus à ce rendez-vous, dont des intervenants publics, des acteurs associatifs, des instances nationales, des experts et des universitaires, assurant que le travail collectif de l’ensemble des acteurs au Maroc, particulièrement au niveau de la commission de coordination du Forum, a permis de relever ce défi.

Au vu de la large participation des acteurs nationaux et étrangers et de la nature des sujets et thématiques prévus, ce 2ème FMDH promet d’être une étape fondamentale dans le débat juridique mondial sur la question des droits de l’Homme dont les outputs permettront indubitablement de conforter l’édifice démocratique du Maroc et de consacrer l’ouverture du pays sur les instances internationales concernées et sa contribution active aux questions des droits de l’Homme.

Forum mondial de Marrakech: « la meilleure riposte aux groupes radicaux dans la région »(Experte chilienne)

Genève  –  Le Forum mondial des droits de l’Homme, dont la 2e édition s’ouvre jeudi à Marrakech, « est la meilleure riposte aux groupes radicaux et tenants de la violence qui gangrènent la région », a affirmé l’experte chilienne, Jacqueline Andrea Hernandez.
« C’est un évènement exceptionnel pour le monde arabo-islamique en lui offrant la plus belle opportunité multiculturelle en vue de répondre à ceux qui, par leur fanatisme intenable, menacent toute la région », a déclaré à la MAP la présidente du Centre chilien d’études pour la démocratie populaire (CEDEPU).

La militante des droits de l’Homme, qui prendra part aux travaux du forum, a estimé que seuls les pays épris de démocratie, d’humanisme et de progrès sont en mesure d’accueillir une manifestation internationale de cette envergure. « C’est pour nous une chance de se réunir à Marrakech, un espace empreint d’ouverture et de paix dans un pays qui a été toujours un trait d’union entre le Nord et le Sud, l’Occident et le monde musulman », a-t-elle fait valoir.

Cette habituée du Conseil des droits de l’Homme à Genève se dit engagée à mettre en évidence « le registre honorable » du Royaume en la matière et « son engagement reconnu » en faveur de la cause des droits humains.

Le CEDEPU, dont elle est co-fondatrice et présidente, est aujourd’hui l’une des ONGs les mieux investies pour « faire connaître le Maroc nouveau, ses choix et ses réformes dans une région où il est quelque peu méconnu ».

A Marrakech, Mme Andrea Hernandez dit souhaiter de francs échanges sur les réalités vécues par les peuples d’ascendance africaine et les possibilités qui s’offrent pour remédier aux situations de conflit d’ordre local.

Il s’agit aussi, de l’avis de l’experte chilienne, de promouvoir un regard latino-américain lors des débats de haut niveau qui auront lieu, quatre jours durant, sur les questions les plus variées des droits de l’Homme.

Le Centre chilien d’études pour la démocratie populaire sera fortement représenté au Forum mondial des droits de l’Homme (27-30 novembre) par une pléiade de spécialistes et de militants venus du Mexique, du Honduras, de Guatemala, du Pérou et du Chili.

Il se fixe pour mission de contribuer, au Chili et en Amérique Latine, au développement d’une démocratie fondée sur l’équité et l’inclusion sociale, dans une logique de respect et de suivi scrupuleux des droits de l’Homme, notamment en matière de politique sociale et d’accès à l’éducation.

Placé sous le haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, le FMDH examinera des sujets classiques mais aussi des thématiques émergentes en rapport avec les droits humains, y compris l’élaboration d’une déclaration sur « les personnes âgées » et « les entreprises et droits de l’Homme ».

Plus de 5.000 participants, des décideurs, des défenseurs des droits de l’Homme et des chercheurs sont attendus au forum de Marrakech, lequel sera marqué par une forte implication des pays du Sud et des débats ouverts sur des problématiques aussi variées que les droits des femmes, des enfants, des groupes vulnérables et des migrants.

Le Forum de Marrakech est porteur d’une reconnaissance internationale pour le Maroc (Expert suisse)

Genève  –  Le deuxième Forum mondial des droits de l’Homme (FMDH), prévu à Marrakech du 27 au 30 novembre, « est porteur d’une véritable reconnaissance internationale des efforts du Maroc », a souligné le spécialiste suisse du monde arabe, Jean-Marc Maillard.

« C’est bien plus qu’un forum, mais une véritable reconnaissance car c’est la première fois qu’un tel évènement se tient en terre africaine », a déclaré M. Maillard à la MAP, en qualifiant le choix du Royaume pour accueillir l’évènement d' »opportun et apprécié à sa juste valeur ».

De l’avis de l’expert lausannois, le plus grand forum de la communauté mondiale des droits de l’Homme « portera indubitablement ses fruits même si, en ce moment dans certaines régions du monde, les droits fondamentaux sont gravement bafoués ».

Hélas, a-t-il regretté, la raison et la politique suivent rarement le même chemin, « surtout lorsque le fanatisme vient apporter son venin mortel et qu’une abominable étroitesse de vue fait de ceux qui prônent ces thèses folles et inhumaines des esprits périlleux et intransigeants ».

  1. Maillard a dans ce contexte estimé que la paix mondiale ne saurait être sauvegardée sans les efforts et l’application stricte des règles qui régissent les droits de l’Homme, auxquelles adhèrent et s’attachent pleinement le Maroc.

La contribution du Royaume, a-t-il expliqué, est bien vivante et surtout indispensable au maintien de la paix et de relations pacifiques, seules à même de promouvoir la culture des droits humains.

« Tout ne peut pas se faire d’un coup : il faut du temps, des aménagements en fonction des situations diverses qui prévalent, surtout sur le plan culturel », a fait observer l’expert, membre de plusieurs ONG helvétiques.

Il a néanmoins considéré qu' »il est particulièrement préoccupant et triste » de constater que certaines régions du monde n’ont que faire des règles des droits de l’Homme qui sont et restent universelles, inspirées d’ouverture et de respect ».

« Toujours est-il que la lente persévérance triomphera toujours de la force indomptée et la raison finira un jour par l’emporter », a conclu M. Maillard.

Placé sous le haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, le FMDH examinera des sujets classiques mais aussi des thématiques émergentes en rapport avec les droits humains, y compris l’élaboration d’une déclaration sur « les personnes âgées » et « les entreprises et droits de l’Homme ».

Plus de 5.000 participants, des décideurs, des défenseurs des droits de l’Homme et des chercheurs sont attendus au forum de Marrakech, lequel sera marqué par une forte implication des pays du Sud et des débats ouverts sur des problématiques aussi variées que les droits des femmes, des enfants, des groupes vulnérables et des migrants.

Le Forum de Marrakech marque le renforcement de l’universalité des droits de l’Homme (El Yazami)

Paris  –  La deuxième édition du Forum mondial des Droits de l’Homme (FMDH), qui sera organisée du 27 au 30 novembre à Marrakech, marque le renforcement de l’universalité des droits de l’Homme, a affirmé, mardi à Paris, le président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Driss El Yazami.

La tenue d’une première édition de cette manifestation en décembre 2013 à Brasilia puis d’une deuxième édition à Marrakech est le cheminement de l’universalisation des droits de l’Homme, a insisté M. EL Yazami lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation de ce forum et à laquelle ont pris part une pléiade de journalistes étrangers.

 Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, ce forum sera marqué par l’examen à la fois des sujets classiques mais également des thématiques émergentes se rapportant à la question des droits de l’Homme, a-t-il indiqué, précisant que les participants débattront de nouvelles problématiques dont l’élaboration d’une déclaration des droits de l’Homme relative aux personnes âgées et du thème « entreprises et droits de l’Homme ».

 Ce forum, qui constitue une avancée puisqu’il est marqué par une forte implication des pays du sud en faveur de la problématique des droits de l’Homme, sera aussi l’occasion d’approfondir le débat sur des sujets classiques dont les droits des femmes, des jeunes et des enfants, ainsi que ceux des groupes fragiles et des migrants, a ajouté M. El Yazami, faisant savoir qu’il s’agit également d’une manifestation culturelle avec l’organisation de plusieurs expositions de timbres et d’art plastique traitant de thèmes ayant trait à la question des droits de l’Homme.

 Ce rendez-vous important de délibération et de débat international se tient au moment où des échéances importantes en matière des droits de l’Homme sont prévues en 2015, a-t-il indiqué, citant, entre autres, la conférence sur le climat à Paris et le processus Beijing+20 avec l’organisation à New York d’une rencontre pour examiner les progrès réalisés dans l’application de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing, 20 après son adoption.

 Le président du CNDH a, d’autre part, signalé que plus de 5.000 participants, venant de 94 pays, des centaines d’ONG locales et internationales et des dizaines d’experts nationaux et étrangers sont attendus à ce forum, précisant que plusieurs activités sont programmées dans le cadre de cette édition.

  1. El Yazami a par ailleurs tenu à préciser que toutes les ONG locales ont été associées au processus de préparation de ce forum y compris celles qui ont décidé de ne pas y prendre part, soulignant que les organisateurs restent ouverts aux propositions et initiatives de toutes les associations.

 Evoquant l’évolution des droits de l’Homme dans le Royaume, M. El Yazami a rappelé que le Maroc a entamé le processus de réformes dans ce domaine depuis plus de 20 ans et ce dans un cadre pluraliste et pacifique, mettant l’accent sur le rôle de la société civile en tant qu’acteur essentiel dans la consolidation de la démocratie marocaine.

 Il a également affirmé que les acquis du Royaume dans le domaine des droits de l’Homme ont été consolidés dans la Constitution de 2011 qui reconnaît les différentes composantes de l’identité nationale notamment amazighe et hébraïque, relevant que le Maroc a su gérer son pluralisme culturel et linguistique.

 Il a en outre mis l’accent sur l’intérêt accordé à la question migratoire au Maroc, rappelant dans ce sens le lancement d’une opération de régularisation au profit des migrants de différentes nationalités installés dans le Royaume.

 Ce forum vise à faire le point sur les principales avancées en matière des droits de l’Homme dans le monde et les contraintes qui pèsent encore aujourd’hui sur leur effectivité.

 Près de 200 espaces de discussion, de rencontre et de formation sont programmés avec 52 forums thématiques, 17 événements spéciaux, 13 activités internes, 13 ateliers de formation, 32 activités autogérées, 15 événements culturels ainsi qu’un studio du forum.

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